LES FÊTES DE LA FEDERUM

1948

 

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El Capitan del Tenisso de Lubumbashi

 

 

Une grand-place de village à laquelle on accède par un arc de triomphe. Une kermesse de chez nous.
On y danse, on y boit, on s'interpelle d'une table à l'autre. Dans un coin de la place, c'est le carrousel, ce sont les balançoires, le paradis des gosses. C'est là qu'on lâchera l'aéronef Fédérum.

Elle a de l'ouvrage, la grand-place, en ces jours de Fédérum. Les joueurs de balle s'y livrent à une lutte épique. Puis, en un rien de temps, on la transforme en terrain de basket-ball : pendant deux heures, en nocturne, les joueuses, puis les joueurs, évoluent avec grâce sous le faisceau des projecteurs.

Dès le coup de sifflet final, innovation et surprise, des fusées partent vers le ciel, des moulins de feu tournent, tournent.

Le bal du samedi soir fut un des clous de ces journées, tant par le nombre des danseurs que par la variété des attractions: ballets, sketches musicaux, donc un audacieux imitateur de Maurice Chevalier, présentés dans une atmosphère de Tyrol par un orchestre qu'envierait maint Bruxellois.

J. STORME

L'arc de triomphe

Une grande place de village

Une grande place de village

 

Atmosphère de Tyrol

Atmosphère de Tyrol

Le Bal

Les Ramblers Girls

 

Feux d'artifice



 

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